Nécessité et illusion du choix

Questions touchant à la mise en pratique de la doctrine éthique de Spinoza : comment résoudre tel problème concret ? comment "parvenir" à la connaissance de notre félicité ? Témoignages de ce qui a été apporté par cette philosophie et difficultés rencontrées.
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nepart
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Messagepar nepart » 16 févr. 2008, 16:11

Donc seulement simuler une colère?

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steph38
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Messagepar steph38 » 16 févr. 2008, 16:46

Je pense en quelque sorte à un mode "méta", où l'on n'est pas la colère, mais où on utilise son énergie à une fin positive.

Par exemple un instituteur qui peut provoquer un stimulus déclenchant un nouveau comportement chez son élève, ou un parent (non pas excédé et qui sort de ses gonds, mais qui a le sens des responsabilités et pense à l'éducation de son enfant) voulant marquer une limite franche et lui inculquer à quel moment il commet une faute sérieuse (avant 5 ans notamment).

Cela me fait penser un peu aux deux techniques d'acteurs : celui qui va incarner complètement les sentiments de celui qui joue, et qui souffre vraiment; puis celui qui recule d'un pas et "joue" (tu dis 'simule') celui qui souffre.

Et en recadrant par rapport aux volitions et à l'idée de choix, tout dépend du type d'objet vers lequel notre désir s'orientera (servile/extérieur/imaginaire ou éclairé/intérieur/raisonné).

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nepart
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Messagepar nepart » 16 févr. 2008, 19:01

Souvent le professeur croit en l'illusion de libre arbitre et croit vraiment que c'est un choix que l'enfant à fait et donc il veut vraiment punir, et je pense pas que la colère soit simuler (cf la gifle du prof traité de connard).

Bien sur dans le cas de l'enfant 5 ans, personne même ceux qui croit en un libre arbitre, pense que l'enfant en est doué à cette âge.


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