La permanence du "moi"

Questions et débats touchant à la conception spinozienne des premiers principes de l'existence. De l'être en tant qu'être à la philosophie de la nature.
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La permanence du "moi"

Messagepar QueSaitOn » 29 nov. 2010, 14:22

Bonjour,
La question est dans le sujet du post ... J'aurais pu tout aussi bien écrire "la permanence du soi" (le "moi" ou le "soi" plutôt ...).

Cette question n'est pas secondaire, car ce sentiment de continuité que nous éprouvons tous est constitutif d'une part de notre "identité" et d'autre part du fondement de l'idée de l'immortalité de l'âme chez les croyants.

Spontanément, j'aurais répondu que ce sentiment est lié au fait que l'esprit étant l'idée du corps, nous vivons notre corps sous un certain rapport au monde qui contient des invariants (liés à la mémoire de l'enfance, au contexte local etc.);

N'y a-il pas d'auters pistes chez Spinoza ? Le conatus ?

Je pensais aussi à cette idée que "nou expérimentons que nous sommes éternels" (mais là je cite Deleuze). Cette permanence viendrait de l'expérience qui nous est donnée d'accéder d'une manière ou d'une autre à la connaissance adéquate.

merci,

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Messagepar QueSaitOn » 29 nov. 2010, 18:33

OK je viens de tomber sur le lien :

thttp://www.spinozaetnous.org/ftopict-248.html

Celma répond en partie à la question. Toutefois la notion d'éternité n'implique pas la durée, la continuité je crois. Si ce n'est peut être celle due à la mémoire de ce qui est nécessaire donc "intemporel" .


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