Expication d'un texte

Questions et débats touchant à la conception spinozienne des premiers principes de l'existence. De l'être en tant qu'être à la philosophie de la nature.
Règles du forum
Cette partie du forum traite d''ontologie c'est-à-dire des questions fondamentales sur la nature de l'être ou tout ce qui existe. Si votre question ou remarque porte sur un autre sujet merci de poster dans le bon forum. Merci aussi de traiter une question à la fois et d'éviter les digressions.
Pourquoipas
participe à l'administration du forum.
participe à l'administration du forum.
Messages : 387
Enregistré le : 30 déc. 2003, 00:00

Messagepar Pourquoipas » 14 févr. 2006, 22:29

Bon, je vous réponds pour la dernière fois.
Vous semblez travailler, c'est bien. Vous semblez aussi aimer la philosophie, c'est très bien.
Prenez le risque de l'erreur ou de la mécompréhension (attention ! je ne dis pas que vous en prenez la route - sur ce sujet, je ne dis rien, je ne suis pas votre professeur).
Surtout, réfléchissez, essayez toutes les hypothèses, etc.

Ce texte est d'ailleurs très très intéressant, pour tous, qu'il s'agisse de maîtres en philosophie ou d'apprentis. Et si vous aimez la philosophie, continuez toute votre vie...

Courage, garçon !

Avatar du membre
flo
passe par là...
passe par là...
Messages : 8
Enregistré le : 13 févr. 2006, 00:00

Messagepar flo » 15 févr. 2006, 09:00

Dnas ce cas je n'aurai besoin de votre aide que pour une seule chose: la notion de chimère. En quoi une nation sans lois est une chimère?
Merci d'avance...


PS: Pensez-vous que ce texte se prête à un commentaire linéaire? (Personnellement je pense que oui...)

Pourquoipas
participe à l'administration du forum.
participe à l'administration du forum.
Messages : 387
Enregistré le : 30 déc. 2003, 00:00

Messagepar Pourquoipas » 15 févr. 2006, 11:06

Pfffffffffff........... T'es dur, Florent !

Chimère = qui implique contradiction.

Avatar du membre
flo
passe par là...
passe par là...
Messages : 8
Enregistré le : 13 févr. 2006, 00:00

Messagepar flo » 15 févr. 2006, 14:44

Dois-je comprendre que comme toute entité terrestre est forcément soumise au moins aux lois de la nature, une Cité sans lois apparait donc comme étant contradictoire, car relevant d'une impossibilité... Ce ne serait alors qu'une illusion. Est-ce cela???

Avatar du membre
laurent987
passe par là...
passe par là...
Messages : 1
Enregistré le : 15 févr. 2006, 00:00

Messagepar laurent987 » 15 févr. 2006, 17:18

Messieurs, bonjour !

Je suis très heureux de trouver votre discussion.
En effet, je dois aussi faire une explication sur ce texte pour la rentrée ! (t'es dans quel lycée Flo ?)

La première question que je me suis posé, c'est pourquoi nous parle-t'on de souverain alors que par la suite, il n'apparait plus.
Faudrait-il mette en rapport le fait que le souverain "domine" la Cité ?
Si le souverai faute, la Cité peut-elle fauter aussi ?

Faut-il comprendre que la Cité est étroitement liée à la nature, et que de ce fait, elle peut-être comme un médecin et à ainsi le droit à l'erreur ?

Ayant lu votre discussion, je suis revenu sur le début du texte.
"On a coutume cependant [...] commettre des fautes"
J'en ai déduit (je dit pas que c'est ça) que si le souverain se fit à la loi, cela a pour conséquence la faute. De ce fait, comme la loi est faite par les hommes, ces derniers fautent dès le départ. Et comme l'homme et la nature sont étroitement liés, c'est la nature qui est fautive depuis le début (vous suivez ?).

Viens par la suite une question évidente: quel rapport existe-t'il entre la raison et la nature ?
Si la Cité a des lois, elle appartient à la nature et peut fauter.
Si la cité agit dans le "même sens" que la loi, elle ne faute pas et peut se maîtriser. Est-il juste de penser que nature et raison sont deux notions opposées ?

Je vous laisse essayer de me comprendre...
Cogito ergo sum, je m'en vais continuer de cogiter comme il le faut...
Bon courage !


Retourner vers « L'ontologie spinoziste »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 110 invités