Ceci est ma première contribution sur
Spinoza et nous, est la français n'est pas ma langue maternelle, alors avez de patience avec moi.... (Les corrections sont bienvenues.)
Je voudrais répondre à la question originaire:
Florian a écrit :N'y a-t-il pas chez Spinoza, notamment par l'affirmation de l'imanence, une certaine forme de phénoménologie?
Je pense que oui, une certaine forme. Quand je lis
l'Éthique, j'ai sens qu'il y a des lignes de défaut, comme celles entre les plats tectoniques. Les plats sont des sujets et methodes qui touts prennent la même objet, mais qui se procèdent differament: un ontologie, un cosmologie, un théologie, une physique théoretique, et bien un psychologie, un phénoménologie, et
onwards and upwards. On peut dire que c'est un division au niveau des assomptions (des définitions, des axiomes, etc.), mais même les théorems ont chacun une orientation vers l'un ou l'autre des sujets aussi. Les lignes de défaut ne suivent pas les divisions entre les parties du livre; les sujets sont touts mélangés.
La plus grande des lignes se trouve à travers la 3me partie. C'est ma sens, au moins. C'est ici que
l'Éthique transforme les "modes" aux êtres humains. Et bien, ça c'est un sort de réflexion de l'operation imaginaire ou interprétative selon laquelle Spinoza fut arrivé à la conception des modes en première place. Donc je voudrais suggérer qu'un lecture spécifiquement phénoménologique de
l'Éthique peut commencer
in media res de la 3me partie, et se proceder à la même fois vers l'avance et vers l'arrière. Je ne pense pas que ce serait une torsion eggregieuse de la logique de Spinoza, puisqu'on cherche ici à reprendre son intuition (plutôt que d'adhérer comme esclave à sa ratiocination, qui n'est pas le genre primaire de connaissance).
Si nous considérons la structure de
l'Éthique comme ça, je pense que les affinités avec la phénoménologie se manifestent avec force. L'affection modulaire se semble aussi plus à la "style" (comme chez Merleau-Ponty), par example.