hokousai a écrit:
J’aurai préféré :Que le fou ne se prenne pas pour Napoléon n'est pas une preuve suffisante pour affirmer que le fou n’ est pas fou !
Bel exemple de formule qui n'est ni sensée, ni vide de sens, ni dépourvue de sens mais qui ne veut rien dire du tout !
on appréciera votre lecture ou pas
mais il me semble évident ( et sensé )de rappeler qu'il ne suffit pas à l'examen psychiatrique que le patient ne se prenne pas pour Napoléon pour en inférer qu'il n'est pas fou et ainsi le renvoyer dans ses foyers .
L'examen se réduisant à la question :vous prenez vous pour napoléon ?
oui ?non?
adjugé
Après tout regardons s'il ne se prend pas pour Jules césar .. au cas où !!!
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Sur la notion de l'authenticité je me réfère à ce que j 'en pense .
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Si Husserl pensait "" psychologie""à partir de l’ancienne
psychophysiologie , il passe par Brentano qui lui la conteste .
On sait l' effort, le pénible effort d' Husserl pour se démarquer du psychologisme de Brentano .Il lui fallu marquer son territoire ,passer d'une d'une " psychologie descriptive "à une " phénoménologie transcendantale ".
La pénibilité de l'effort consistant à vouloir prouver qu'il n'en faisait plus alors qu'il était plus qu'évident qu'il en faisait encore .
À l’automne 1949, Merleau-Ponty est appelé à la Sorbonne pour y enseigner la psychologie de l’enfant et la pédagogie
.Après tout on peut ne plus considérer Merleau -Ponty comme un phénoménologue .