( je ne prends pas parti contre serge sur la question précise des modes puisque ""essence"" n'est pas comprise par vous comme par lui , ni comme par moi même )
Mais sur l'indivisibilité, je veux bien être d'accord , encore que la relation d'un continuum à ses multiples apparitions reste entière .Les terme d' expression(ou d'affection)*** ne font que combler le vide de la pensée sur l'individuation .
Toujours stupéfiant ce qu'un mot peut cacher de manque théorique sur des question qui ne le sont pas .
*** expression et affection semblent les deux facettes d' un discours qui tourne autour du pot .On nomme le processus d' apparition du multiple on ne l'explique pas .
Enfin personne n'a fait mieux que l 'eccéité de Duns Scot laquelle à la limite ne dit rien du tout non plus .
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Autrement dit, le problème d'une seule substance et d'un monde multiple ne se pose que lorsqu'on veut que cette substance soit simple.
vous distinguez le simple de l' unité, certes, mais on a toujours dans la métaphysique et la logique lié l' UN à la simplicité .
Sinon il faut désunir puis réunir (comme dit Bergson il faut recoudre )car l'UN au départ (du concept )n'est pas désuni . Il est uni ( Unité )
L'un est ce qui n'est pas composé, et nous pensons ce qui n'est pas composé (et que serai par exemple le deux ).Le simple c'est ce qui n'est pas composé .
Lorsqu'on veut que cette substance soit simple on veut aussi quelle soit UNE .