Te coucher ! à 10h19 !
Ça fait rien, j'envoie les formules magiques dans 30 minutes.
Tu t'relèveras !
Troy
Et pendant ce temps-là, à la même heure, tout là-bas...
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captain-troy
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captain-troy
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Choix de gestions de la peur et de la haine
Choix de gestions de la concurrence, des conflits et des affects leur étant liés
I
Irruption de « l’autre », d’une puissance autre,
d’un concurrent, volontaire ou non, en foncier (concurrence foncière et/ou territoriale), en économie (concurrence économique, socioprofessionnelle), en amour (concurrence sexuelle et/ou amoureuse), en performances et/ou suprématies socioculturelles. (leadership culturel).
II
Intuition d’un danger et d’une menace potentiels.
III
III.1
Intuition de ma fragilité, de ma vulnérabilité, de mon infériorité, de mon impuissance, de ma faiblesse.
III.2
Ou, intuition de ma puissance, voire toute-puissance, de ma force, de mon invulnérabilité, de ma souveraineté, de mon indifférence, de ma jubilation.
IV
IV.1.A
Peur, affichage de ma peur, panique, auto-dévalorisation, projection de ma perte, auto-victimisation et donc excitation de l’agressivité, de la haine, des ambitions, de l’agression de l’autre.
IV.1.B
Ou, mobilisation, enrichissement et refonte des mes forces éparses et hétérogènes, valorisation et sur-valorisation de moi-même,antidotes de la peur/haine.
IV.2.A
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : rire souverain, affichage de la force et du rire souverain, mise en œuvre de la dérision, ridiculisation de l’autre, réduction, dégonflage et démobilisation de sa puissance, déclenchement de l’auto-dérision, de l’auto-dévalorisation et de l’auto-haine de l’autre (arme terrible puisque génératrice chez l’autre de cette double-haine si incapacitante, comme un « corps » se retournant contre lui-même, s’attaquant et « se rejetant » lui-même.
IV.2.B
Ou, quand la puissance autre et sa menace sont estimées malignes, graves, et mortelles : affrontement digne et serein (non haineux) de l’autre, combat lucide et efficace en vue de son élimination en tant que force mortifère.
V
V.1.A.a
Haine de moi-même-impuissant, négation de moi-même, autodestruction, reddition, capitulation, suicide. Auto mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance. (FIN DU PROCESS)
V.1.A.b
Ou, haine de l’autre, projections diabolisantes et fantasmatiques, rage aveugle, désordonnée et inefficace, perte de contrôle de moi-même et des situations.
V.1.A.c
Ou, haine de moi-même-impuissant et de l’autre puissant, rage amère.
V.1.B.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées malignes, graves et mortelles : affrontement digne et serein (non haineux) de l’autre, combat lucide et efficace en vue de son élimination en tant que force mortifère.
V.1.B.b
Ou, quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : rire souverain, affichage du rire souverain, mise en œuvre de la dérision, ridiculisation de l’autre, réduction, dégonflage et démobilisation de sa puissance. déclenchement de l’auto-dérision, de l’auto-dévalorisation et de l’auto-haine de l’autre (arme terrible puisque génératrice chez l’autre de cette double-haine si incapacitante, comme un « corps » se retournant contre lui-même, s’attaquant et « se rejetant » lui-même. > (ou > IV.2.A)
V.2.A.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : mise à mort symbolique de l’autre par le rire et la dérision, amendement et correction de l’autre par auto ridiculisation. (FIN DU PROCESS)
V.2.A.b
Ou, réponse à mon rire souverain et à mon offensive de dérision non haineuse par du rire souverain et/ou de l’offensive ni haineuse, ni mortifère : union des rires, neutralisation des menaces, union des forces. (FIN DU PROCESS)
V.2.A.c
Ou, si la réponse au rire souverain dérive vers la menace haineuses mortifère : offensive maîtrisée, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
V.2.B.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées haineuses, malignes, graves et mortelles : mise à mort, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VI
VI. 1.A.b.alpha
Affichages haineux symboliques et opérations agressives de ma part, perturbées par la haine.
VI. 1.A.c.alpha
Victimisation de moi-même, auto-victimisation, pitié de moi-même perturbante, démobilisation avant lutte et combat, démission, capitulation rageuse.
Auto-mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance. (FIN DU PROCESS)
VI.1.B.a.alpha
Réponses haineuses de l’autre, aveugles, désordonnées, inefficaces à mon offensive sereine.
VI.1.B.a.béta
Ou, auto-dévalorisation de l’autre, inquiétude, démobilisation et capitulation de l’autre sans combat. Auto mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VI.1.B.a.gamma
Ou, réponses offensives efficaces et non haineuses de l’autre à mon offensive sereine.
VI.1.B.b.alpha
Réponse et manifestation haineuse de l’autre à mon rire souverain.
VII
VII.1.A.b.alpha.1°
Réponses agressives ou insultantes de l’autre, efficaces car moins peureuses-haineuses et moins désordonnées que les miennes : mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance ou/et co-destruction réflexive des deux puissances. (FIN DU PROCESS)
VII.1.A.b.alpha.2°
Ou, réponses agressives ou insultantes de l’autre, non efficaces car plus peureuses-haineuses et plus désordonnées que les miennes : mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre, mise à mort, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre ou/et co-destruction réflexive des deux puissances. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.a.alpha.1°
Réponses agressives, insultantes, haineuses et donc désordonnées de l’autre face à mon offensive sereine et maîtrisée donc plus efficace : mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre, élimination, neutralisation de la puissance haineuse et mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.a.gamma.1°
Ou, réponses offensives efficaces, ni haineuses ni mortifères de l’autre face à mon offensive sereine et maîtrisée : neutralisation des menaces et union des forces. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.b.alpha.1°
Redoublement de dérision jusqu’à auto-ridiculisation de l’autre, mise à mort symbolique de l’autre par le rire et la dérision, amendement et corrections de l’autre par auto-ridiculisation. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.b.alpha.2°
Ou, si la réponse au rire souverain dérive vers la menace haineuses mortifère, offensive maîtrisées, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
I
Irruption de « l’autre », d’une puissance autre,
d’un concurrent, volontaire ou non, en foncier (concurrence foncière et/ou territoriale), en économie (concurrence économique, socioprofessionnelle), en amour (concurrence sexuelle et/ou amoureuse), en performances et/ou suprématies socioculturelles. (leadership culturel).
II
Intuition d’un danger et d’une menace potentiels.
III
III.1
Intuition de ma fragilité, de ma vulnérabilité, de mon infériorité, de mon impuissance, de ma faiblesse.
III.2
Ou, intuition de ma puissance, voire toute-puissance, de ma force, de mon invulnérabilité, de ma souveraineté, de mon indifférence, de ma jubilation.
IV
IV.1.A
Peur, affichage de ma peur, panique, auto-dévalorisation, projection de ma perte, auto-victimisation et donc excitation de l’agressivité, de la haine, des ambitions, de l’agression de l’autre.
IV.1.B
Ou, mobilisation, enrichissement et refonte des mes forces éparses et hétérogènes, valorisation et sur-valorisation de moi-même,antidotes de la peur/haine.
IV.2.A
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : rire souverain, affichage de la force et du rire souverain, mise en œuvre de la dérision, ridiculisation de l’autre, réduction, dégonflage et démobilisation de sa puissance, déclenchement de l’auto-dérision, de l’auto-dévalorisation et de l’auto-haine de l’autre (arme terrible puisque génératrice chez l’autre de cette double-haine si incapacitante, comme un « corps » se retournant contre lui-même, s’attaquant et « se rejetant » lui-même.
IV.2.B
Ou, quand la puissance autre et sa menace sont estimées malignes, graves, et mortelles : affrontement digne et serein (non haineux) de l’autre, combat lucide et efficace en vue de son élimination en tant que force mortifère.
V
V.1.A.a
Haine de moi-même-impuissant, négation de moi-même, autodestruction, reddition, capitulation, suicide. Auto mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance. (FIN DU PROCESS)
V.1.A.b
Ou, haine de l’autre, projections diabolisantes et fantasmatiques, rage aveugle, désordonnée et inefficace, perte de contrôle de moi-même et des situations.
V.1.A.c
Ou, haine de moi-même-impuissant et de l’autre puissant, rage amère.
V.1.B.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées malignes, graves et mortelles : affrontement digne et serein (non haineux) de l’autre, combat lucide et efficace en vue de son élimination en tant que force mortifère.
V.1.B.b
Ou, quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : rire souverain, affichage du rire souverain, mise en œuvre de la dérision, ridiculisation de l’autre, réduction, dégonflage et démobilisation de sa puissance. déclenchement de l’auto-dérision, de l’auto-dévalorisation et de l’auto-haine de l’autre (arme terrible puisque génératrice chez l’autre de cette double-haine si incapacitante, comme un « corps » se retournant contre lui-même, s’attaquant et « se rejetant » lui-même. > (ou > IV.2.A)
V.2.A.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées bénignes, légères et non mortelles : mise à mort symbolique de l’autre par le rire et la dérision, amendement et correction de l’autre par auto ridiculisation. (FIN DU PROCESS)
V.2.A.b
Ou, réponse à mon rire souverain et à mon offensive de dérision non haineuse par du rire souverain et/ou de l’offensive ni haineuse, ni mortifère : union des rires, neutralisation des menaces, union des forces. (FIN DU PROCESS)
V.2.A.c
Ou, si la réponse au rire souverain dérive vers la menace haineuses mortifère : offensive maîtrisée, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
V.2.B.a
Quand la puissance autre et sa menace sont estimées haineuses, malignes, graves et mortelles : mise à mort, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VI
VI. 1.A.b.alpha
Affichages haineux symboliques et opérations agressives de ma part, perturbées par la haine.
VI. 1.A.c.alpha
Victimisation de moi-même, auto-victimisation, pitié de moi-même perturbante, démobilisation avant lutte et combat, démission, capitulation rageuse.
Auto-mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance. (FIN DU PROCESS)
VI.1.B.a.alpha
Réponses haineuses de l’autre, aveugles, désordonnées, inefficaces à mon offensive sereine.
VI.1.B.a.béta
Ou, auto-dévalorisation de l’autre, inquiétude, démobilisation et capitulation de l’autre sans combat. Auto mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VI.1.B.a.gamma
Ou, réponses offensives efficaces et non haineuses de l’autre à mon offensive sereine.
VI.1.B.b.alpha
Réponse et manifestation haineuse de l’autre à mon rire souverain.
VII
VII.1.A.b.alpha.1°
Réponses agressives ou insultantes de l’autre, efficaces car moins peureuses-haineuses et moins désordonnées que les miennes : mise à mort symbolique ou réelle de ma puissance ou/et co-destruction réflexive des deux puissances. (FIN DU PROCESS)
VII.1.A.b.alpha.2°
Ou, réponses agressives ou insultantes de l’autre, non efficaces car plus peureuses-haineuses et plus désordonnées que les miennes : mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre, mise à mort, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre ou/et co-destruction réflexive des deux puissances. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.a.alpha.1°
Réponses agressives, insultantes, haineuses et donc désordonnées de l’autre face à mon offensive sereine et maîtrisée donc plus efficace : mise à mort symbolique ou réelle de la puissance de l’autre, élimination, neutralisation de la puissance haineuse et mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.a.gamma.1°
Ou, réponses offensives efficaces, ni haineuses ni mortifères de l’autre face à mon offensive sereine et maîtrisée : neutralisation des menaces et union des forces. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.b.alpha.1°
Redoublement de dérision jusqu’à auto-ridiculisation de l’autre, mise à mort symbolique de l’autre par le rire et la dérision, amendement et corrections de l’autre par auto-ridiculisation. (FIN DU PROCESS)
VII.1.B.b.alpha.2°
Ou, si la réponse au rire souverain dérive vers la menace haineuses mortifère, offensive maîtrisées, élimination, neutralisation de la puissance mortifère de l’autre. (FIN DU PROCESS)
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Enegoid
- participe avec force d'âme et générosité
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- Enregistré le : 10 févr. 2007, 00:00
Enegoid a écrit:
Je tiens que ces situations extrêmes constituent une composante plus ou moins importante mais significative de toutes les situations sociales. Il s’agit tout simplement de la question économico-politique de la rareté.
On en retrouve une part infime sur le forum (la place, le nombre de sujets, l’attention des lecteurs n’est pas extensible à l’infini). Mais les corps ne sont pas impliqués, alors, c’est cool !
louisa a écrit :si vous trouvez que esprits et corps sont toujours également impliqués, que vouliez-vous dire par la dernière phrase ci-dessus (que dès lors j'aurai sans doute mal comprise)?
J'ai mis un peu de temps à savoir quoi vous répondre. Beaucoup de choses se sont dites sur ce forum depuis. A vous de voir si c'est encore d'actualité pour vous.
J'ai pensé commencer par vous dire que effectivement vous aviez mal compris. A la réflexion, je me suis dit que l'équivalence corps esprit n'était pas si évidente et qu'il fallait d'abord se mettre au clair sur la question (ce qui, pardonnez-moi, n'est pas avec vous une affaire simple).
Je me servirai d'une image : le général qui envoie ses soldats au casse pipe et les soldats eux-mêmes participent de la même situation et sont tendus vers la victoire (supposons-le si vous voulez bien). Les corps des uns sont plus impliqués que les corps des autres.
Et quand je dis que les corps des participants au forum ne sont pas impliqués, j'ai exagéré bien sûr, ils sont un peu impliqués (ils sont en rapport avec les pensées produites, et ils boivent un café, tapent sur le clavier etc.) mais sont aussi distants des choses réelles dont ils parlent que le général du feu de la tranchée (surtout avec un sujet comme la haine!) . Pour moi ils sont "peu" impliqués et non pas "pas" impliqués.
Voilà ce que je voulais dire.
Dieu modifié en Allemands a tué Dieu modifié en dix mille Turcs...
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captain-troy
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- Enregistré le : 28 juin 2009, 00:00
Re: Et pendant ce temps-là, à la même heure, tout là-bas...
Le philosophico-religieux ayant superbement repris ses distances avec l’économico-politique, préférant s’occuper d’essences plutôt que de mettre ses mains blanches jusqu’à la transparence dans le mazout et dans le cambouis, je reprends sans gants les problèmes du monde, avec les derniers outils élaborés grâce à l’aide de certains des intervenants spinozistes locaux.
Dans ce texte les "problèmes du monde" sont en fait des puissances, des forces envahissantes, des menaces plus ou moins haineuses, des dangers.
Résumons-les, dans l'ordre du texte :
a) Les Chinois
b) Les africains
c) Les islamistes
d) Les "écolo-scientologistes"
e) Les maffias
f) Les gauchistes
g) Les black-blockistes
h) Les interniais de l'Internet
i) Les affamés assis
j) Les syndico-fonctionno-planqués
k) Les banquiers
l) Les artistes subventionnés
m) Les clercs couchés
n) Les rappeurs
On peut désormais distinguer les points communs entre toutes ces puissances-impuissances menaçantes :
1) Elles sont toutes, plus ou moins, en faiblesse, en impuissance, en victimisation, en auto-victimisation, en négativité, en auto-affaiblissement, en défaitisme, en accusation de leur concurrents, en agression, en lutte et combats pervers et culpabilisants vis à vis de concurrents à disqualifier pluôt qu'à affronter.
Elles sont la faiblesse, la maladie, la mort, la haine mortelle, la toxicité, l'infection, le dessèchement, les branches mortes par rapport à la vie.
2) Elles adoptent toutes, plus ou moins, une démarche de haine, de redirection de l'auto-haine vers l'extérieur, vers l'autre, de diabolisation de l'autre, d'agression, de menace, d'invasion, de terrorisme, d'envahissement, de disqualification et démobilisation des forces de l'autre.
3) Elles s'attaquent toute, plus ou moins, à un même adversaire, à un même "autre" : la vie, le dynamisme libéral, l'énergie individuelle, la démocratie occidentale, le personnalisme hellénestico-judéo-chrétien, la chaîne liberté-responsabilté-choix-engagement-amour chrétienne, la rationalité cartésienne.
Les outils spinoziens à aller récupérer au dépotoir sont :
- le système universel divin, deus sive natura, formant un tout du monde et de l'humain, sans "vide", sans "vice", mais avec "histoire", évolution, branches mortes et branches vertes.
- un désir universel, un désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une joie-témoin-diode universelle de l'augmentation de sa puissance d'être, de sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une haine-témoin-diode universelle de la diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
Ces concepts s'avèrent utiles et efficaces dans la lutte contre les exemples de menaces précédemment citées.
Ainsi les islamistes ou les black-blockistes, par exemple, pourront être considérés comme des haines, donc des branches mortes, ou en voie de dessèchement ou de pourrissement, des diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps, perversement désireuses de contaminer, de répandre et "d'augmenter" leur "être négatif", leur non-être qui est encore un mode d'être.
Les branches vertes, au nom de la vie et du désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps, se devront, par nature, de répondre à ces menaces mortifères.
Les forces vitales utiliseront les schémas de gestion de la peur-haine-refondation-valorisation-dérision-élimination décrites plus haut, la joie témoignant du succès de leur combat.
Voilà !
Votre Capitaine,
Troy
captain-troy a écrit :Les chinois restalinisaient et réesclavagisaient le monde, les africains se découpaient en lambeaux, les islamistes fétichistes et haineux explosaient les résidus de la démocratie et de l'occident, les écologistes et les scientologistes recolonisaient les temples vides et les églises désertées, les maffias répandaient allègrement la drogue, la pornographie et la prostitution chez les enfants, des crétins hallucinés choquaient désespérément les poitrines de Marx, Spinoza et Bouddha pour réanimer des cadavres putrides, des gauchistes black blockistes balançaient des parpaings sur les trains et saccageaient Poitiers, Internet et les écoles répandaient l'analphabétisme et la pensée infra-sauvage, des millions d'affamés déterraient des immondices pour s'emplir l'estomac tandis que les NMPP de la CGT défendaient des privilèges dépassés, les banquiers tiraient leurs derniers marrons du feu, les artistes prostituaient des œuvres insignifiantes pour des subventions et des pensions d'ancien régime, les clercs se pâmaient devant la marionnette noire d'un président nobélisé et impuissant et se prosternaient devant des rappeurs maquereaux et assassins...
Et pendant ce temps-là, à la même heure, tout là-bas, paisiblement, Louisa, Durtal, Henrique, Hokousai, Dgsu et Sinusix continuaient, tranquilles, imperturbables, sereins, béats.
7 milliards de petits sans-foi,
Et moi, et moi, et moi ...
Dans ce texte les "problèmes du monde" sont en fait des puissances, des forces envahissantes, des menaces plus ou moins haineuses, des dangers.
Résumons-les, dans l'ordre du texte :
a) Les Chinois
b) Les africains
c) Les islamistes
d) Les "écolo-scientologistes"
e) Les maffias
f) Les gauchistes
g) Les black-blockistes
h) Les interniais de l'Internet
i) Les affamés assis
j) Les syndico-fonctionno-planqués
k) Les banquiers
l) Les artistes subventionnés
m) Les clercs couchés
n) Les rappeurs
On peut désormais distinguer les points communs entre toutes ces puissances-impuissances menaçantes :
1) Elles sont toutes, plus ou moins, en faiblesse, en impuissance, en victimisation, en auto-victimisation, en négativité, en auto-affaiblissement, en défaitisme, en accusation de leur concurrents, en agression, en lutte et combats pervers et culpabilisants vis à vis de concurrents à disqualifier pluôt qu'à affronter.
Elles sont la faiblesse, la maladie, la mort, la haine mortelle, la toxicité, l'infection, le dessèchement, les branches mortes par rapport à la vie.
2) Elles adoptent toutes, plus ou moins, une démarche de haine, de redirection de l'auto-haine vers l'extérieur, vers l'autre, de diabolisation de l'autre, d'agression, de menace, d'invasion, de terrorisme, d'envahissement, de disqualification et démobilisation des forces de l'autre.
3) Elles s'attaquent toute, plus ou moins, à un même adversaire, à un même "autre" : la vie, le dynamisme libéral, l'énergie individuelle, la démocratie occidentale, le personnalisme hellénestico-judéo-chrétien, la chaîne liberté-responsabilté-choix-engagement-amour chrétienne, la rationalité cartésienne.
Les outils spinoziens à aller récupérer au dépotoir sont :
- le système universel divin, deus sive natura, formant un tout du monde et de l'humain, sans "vide", sans "vice", mais avec "histoire", évolution, branches mortes et branches vertes.
- un désir universel, un désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une joie-témoin-diode universelle de l'augmentation de sa puissance d'être, de sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une haine-témoin-diode universelle de la diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
Ces concepts s'avèrent utiles et efficaces dans la lutte contre les exemples de menaces précédemment citées.
Ainsi les islamistes ou les black-blockistes, par exemple, pourront être considérés comme des haines, donc des branches mortes, ou en voie de dessèchement ou de pourrissement, des diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps, perversement désireuses de contaminer, de répandre et "d'augmenter" leur "être négatif", leur non-être qui est encore un mode d'être.
Les branches vertes, au nom de la vie et du désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps, se devront, par nature, de répondre à ces menaces mortifères.
Les forces vitales utiliseront les schémas de gestion de la peur-haine-refondation-valorisation-dérision-élimination décrites plus haut, la joie témoignant du succès de leur combat.
Voilà !
Votre Capitaine,
Troy
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Enegoid
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Cambouis
Je n’aime pas ceux qui fuient le cambouis pour mieux asseoir la bonne opinion qu’ils ont d’eux-mêmes en méprisant ceux qui sont pris dedans, tout en bénéficiant de leur action. Je me méfie de ceux qui nient l’existence du cambouis. Et je me méfie de ceux qui pensent avoir découvert le dissolvant magique.
Pour autant, je n’aime pas mettre mes mains dans le cambouis si je peux l’éviter. Mettre les mains dans le cambouis ne remplit pas de joie. C’est plutôt tristement, et poussé par la nécessité, qu’on le fait. On n’y va pas la fleur au fusil. On en sort abîmé, toujours.
Joie/tristesse, haine/amour
(Je fais mon Levy-Strauss)
Une trilogie ressemblant à celle de Spi, dans laquelle il manque l’opposé de la joie cad la tristesse et l’opposé de la haine, cad l’amour.
L’articulation tristesse/haine que vous évacuez totalement est pour moi le triangle des bermudes de ce fil. Le point aveugle. Surtout pas de tristesse, ce n’est vraiment pas vendeur !
Mais il est vrai qu’il y a des tristesses sans haine et, peut-être (je n’en suis pas sûr) des haines sans tristesse.
En démocratie, je ne vois pas comment, quelque part, structurellement, la minorité ne peut pas ne pas être plus triste que la majorité.
(Pour, une fois n’est pas coutume, trouver une illustration sans faire appel à Hitler)
Troy a écrit :préférant s’occuper d’essences plutôt que de mettre ses mains blanches jusqu’à la transparence dans le mazout et dans le cambouis
Je n’aime pas ceux qui fuient le cambouis pour mieux asseoir la bonne opinion qu’ils ont d’eux-mêmes en méprisant ceux qui sont pris dedans, tout en bénéficiant de leur action. Je me méfie de ceux qui nient l’existence du cambouis. Et je me méfie de ceux qui pensent avoir découvert le dissolvant magique.
Pour autant, je n’aime pas mettre mes mains dans le cambouis si je peux l’éviter. Mettre les mains dans le cambouis ne remplit pas de joie. C’est plutôt tristement, et poussé par la nécessité, qu’on le fait. On n’y va pas la fleur au fusil. On en sort abîmé, toujours.
Joie/tristesse, haine/amour
un désir universel, un désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une joie-témoin-diode universelle de l'augmentation de sa puissance d'être, de sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une haine-témoin-diode universelle de la diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
(Je fais mon Levy-Strauss)
Une trilogie ressemblant à celle de Spi, dans laquelle il manque l’opposé de la joie cad la tristesse et l’opposé de la haine, cad l’amour.
L’articulation tristesse/haine que vous évacuez totalement est pour moi le triangle des bermudes de ce fil. Le point aveugle. Surtout pas de tristesse, ce n’est vraiment pas vendeur !
Mais il est vrai qu’il y a des tristesses sans haine et, peut-être (je n’en suis pas sûr) des haines sans tristesse.
En démocratie, je ne vois pas comment, quelque part, structurellement, la minorité ne peut pas ne pas être plus triste que la majorité.
(Pour, une fois n’est pas coutume, trouver une illustration sans faire appel à Hitler)
Dieu modifié en Allemands a tué Dieu modifié en dix mille Turcs...
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captain-troy
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Enegoid a écrit :A Troy
...et quant à votre liste, je la prends pour ce qu'elle est : une liste de boucs émissaires de ce qui ne va pas dans le monde selon vous.
Oui c'est ça, le terrorisme islamique ou les maffias de la drogue et du sexe ou les tyrans africains etc... ce sont des vues de l'esprit et des boucs émissaires.
Commode pour le mec qui veut pas trop retirer les doigts de son ... et qui se dessine un monde de spinezounours à caresser doucement...
J'en connais un qui s'occupe un peu de Birmanie, des fois, de loin, là-bas... J'y pense et puis j'oublie...
Faudrait sortir un peu de votre bulle des fois ... Mais faites gaffe, elle est pleine d'essences vot' bulle, ça peut exploser au contact de l'existence.
Bougez pas finalement, c'est mieux, c'est plus prudent, restez dans vos essences.
Prends-la comme tu veux ma liste mon pote, prends-la comme tu veux et bonne nuit.
Troy
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captain-troy
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Enegoid a écrit :
L’articulation tristesse/haine que vous évacuez totalement est pour moi le triangle des bermudes de ce fil. Le point aveugle. Surtout pas de tristesse, ce n’est vraiment pas vendeur !
Mais il est vrai qu’il y a des tristesses sans haine et, peut-être (je n’en suis pas sûr) des haines sans tristesse.
En démocratie, je ne vois pas comment, quelque part, structurellement, la minorité ne peut pas ne pas être plus triste que la majorité.
(Pour, une fois n’est pas coutume, trouver une illustration sans faire appel à Hitler)
Y'a pas d'tristesse ! Le tristesse c'est la mort, la fin, le bout, fini, plus rien après. Ça rentre pas dans les enchaînements de la vie comme le désir, la peur, la haine, la joie.
La tristesse de la minorité c'est du délire, de la branlette espagnolo-hollandaise. La minorité peut être en colère, en peur, en haine, c'est tout.
Les crétines et les crétins qui pleurnichaient quand Jospin ou Ségolène ont perdu le faisaient davantage par ramollissement mental prématuré ou/et nervosité hystérique (comme ces adolescentes ou ces vieux qui pleurent pour rien) que par réelle souffrance.
La tristesse c'est précis, c'est carré c'est ça (je me cite) :
"Tristesse : (chagrin, peine)
La tristesse c’est quand on a perdu son enfant, sa mère, son vieux chien, la maison de son enfance, la fille qu’on espérait tant.
C’est quand on a l’eau dans les yeux, les mots dans la gorge, les tonnes sur la poitrine.
C’est voir pleurer un ami, un petit, qu’on voudrait tant consoler.
La tristesse c’est quand c’est fini, plus jamais, pour toujours, sans demain, sans matin.
C’est quand c’est la faute à personne, sans peur, sans colère, sans regret, ni projet.
C’est là, c’est comme ça, c’est rien d’autre, c’est comme ça, la tristesse."
Troy
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captain-troy
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Enegoid a écrit :Une trilogie ressemblant à celle de Spi, dans laquelle il manque l’opposé de la joie cad la tristesse et l’opposé de la haine, cad l’amour.
Quant à l'amour chez Spinoza, faut arrêter ! Ceux pour qui l'amour est une joie accompagnée de l'idée d'une cause extérieure, n'ont pas dû aimer souvent...
Et je suis très amoureux de bon pâté et de l'excellent bordeaux que je vais me taper tout à l'heure avec des copains à l'apéro dont l'idée me met déjà en joie.
L'amour, pour ceux qui connaissent un peu... on sait jamais... , se place à côté et avec et dans le désir, le désir universel, le désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps, vers quelque chose d'autre, d'autre que l'espace et le temps. Un désir partagé, un désir choisi, volontairement, librement, un engagement, un engagement de désir, un désir d'engagement, une fidélité, un désir de fidélité, une fidélité de désir.
Donc, il y a bien :
- le système universel divin, deus sive natura, formant un tout du monde et de l'humain, sans "vide", sans "vice", mais avec "histoire", évolution, branches mortes et branches vertes.
- un désir universel, amour universel et amour actualisé, un désir universel de persévérer dans son être et de d'augmenter sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une joie-témoin-diode universelle de l'augmentation de sa puissance d'être, de sa puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
- une haine-témoin-diode universelle de la diminution de la puissance d'être, de la puissance de persévérer dans son être, dans l'espace et dans le temps.
Faut tout vous dire !!!
Nous avons donc désir-amour-joie et, parfois peur-colère-haine, en interne dans certains cas d'échec (mal structurellement "nécessaire" et inévitable puisque "désir-amour-joie" est un choix), et en externe en cas de menace venant d'un "autre" en peur-colère-haine .
C'est tout !
Troy
Modifié en dernier par captain-troy le 22 nov. 2009, 00:09, modifié 1 fois.
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Enegoid
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Commode pour le mec qui veut pas trop retirer les doigts de son ... et qui se dessine un monde de spinezounours à caresser doucement...
ouais,...facile (une fois de plus). Vous appliquez votre technique IV 2 A. Super. Enegoid rangé dans le camp des supporters de la mafia. Bien joué!
Le fonds de votre discours, c'est : moi, Korto, j'ai trouvé les salauds qui empoisonnent la vie. Suivez-moi ! Si vous ne me suivez pas c'est que vous êtes des c...
C'est là que, malgré toutes mes réticences vis à vis de Spinoza, je préfère encore quelqu' un qui dit "je veux comprendre" à quelqu'un qui dit : "l'ennemi est là, suivez-moi" (dans le mur).
Quant à agir dans et sur le monde, C'est encore une énigme pour moi, et je suis prêt à toutes les suggestions. Mais vous, peut-être pourriez-vous nous expliquer en quoi vous avez fait autre chose qu'exprimer votre panique devant tous ces horribles que vous dénoncez : "Maman (ou Papa?), le monde est plein de vilains" !
Et...Vous ne seriez pas un peu bisounours, vous aussi, dans votre lagon avec tout ce bleu autour de vous ?
Dieu modifié en Allemands a tué Dieu modifié en dix mille Turcs...
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