Conscience et conscience de soi

[hokousai]

Hokusai je le pratique depuis plus longtemps que vous pour le connaître, je connais son style tout en allusion, en bouts de doctrines rapportées et tout en confusion...

Il faut travailler dans le BTP, là est le solide.


Mais attention

Le BTP est le secteur d'activité jugé le plus pénible par 70 % des salariés, tous secteurs confondus. L'opinion des salariés du BTP est encore plus dure à l'égard de leur activité puisque 85 % d'entre eux la citent comme la plus pénible.

Je plaisante ?... ben oui.

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Quand on étudie l'oeuvre de certains très réputés philosophes ( ayant vécu suffisamment longtemps s'entend ) on observe des allusions, des bouts de doctrines rapportées, de la confusion souvent, des éclaircissements ultérieurs parfois, ou pas...
des contradictions aussi entre les différents stades et des revirements chez certains.... bref une évolution. Laquelle implique souvent un jugement d'insatisfaction sur les écrits passés.

Et même les plus fidèles à leur intuition première ajouteront des codicilles...des variantes, des précisions, des rectificatifs ...que sais- je?
Ils ne cessent de questionner.
Sinon quoi ?

Quand Spinoza écrit dans l' Ethique quelque chose d'un peu différent des pensées métaphysique ou du court traité ...on fait quoi ?
A quels textes attribue -t-on des bouts de doctrines rapportées, des allusions et la confusion?
A aucun, on se contente de ne plus lire ce qui dérange.
Et on se construit mentalement la fable d'une oeuvre mathématique.

Pour reparler de Mythe il y a un mythe de la doctrine sortie pure et in extinso, en une fois au début.
(et particulièrement chez Wittgenstein véritablement le plus mal placé pour ne pas avoir entretenu la confusion ).

NaOh ne veut pas faire de topo, donc acte ...on ne le lui demandait même pas.

[NaOh]

Ben heureusement qu'on est sur "les internets" hein. Hokusai comparez vous votre prose à celle de Wittgenstein ou de Spinoza ou bien je rêve?

[aldo]

Il faut travailler dans le BTP, là est le solide.

[Vanleers]

« « Prendre son vol », chaque jour ! Au moins un moment, qui peut être bref pourvu qu’il soit intense. Chaque jour, un « exercice spirituel », – seul ou en compagnie d’un homme qui, lui aussi, veut s’améliorer.
Exercices spirituels. Sortir de la durée. S’efforcer de dépouiller tes propres passions, les vanités, le prurit de bruit autour de ton nom (qui, de temps à autre, te démange comme un mal chronique). Fuir la médisance. Dépouiller la pitié et la haine. Aimer tous les hommes libres. S’éterniser en se dépassant. » (Georges Friedmann, La puissance et la sagesse p. 359 – Gallimard 1970)

[Vanleers]

A NaOh

La question de la coexistence de la béatitude et de la tristesse a déjà été abordée sur le fil « La ruse de la connaissance du troisième genre », notamment à partir de sa page 2 :

viewtopic.php?f=11&t=1576&start=10

En page 3 de ce fil, je rappelais une remarque d’Henrique qui, en réponse à RomainD, écrivait le 31/05/2015 :

« Vous demandez pour finir ce que peut signifier "vouloir la douleur autant que le plaisir comme autant de modalités de la puissance d'être affecté". Dans cette philosophie de l'affirmation qu'est celle de Spinoza, chaque être est une façon pour la substance de s'affirmer. En ce sens, tout y est parfait, rien ne manque. Si nous connaissons la douleur, ce n'est donc pas par une imperfection de notre nature, mais par sa perfection même. Car ce qui est parfait dans l'être, c'est sa puissance de s'affirmer, c'est-à-dire de vivre. Vouloir vivre, c'est donc vouloir tout ce qui fait la vie. Ou encore vouloir la puissance, c'est vouloir la puissance d'affecter autant que d'être affecté, et donc de pâtir autant que de se réjouir. La béatitude n'est pas l'absence de douleur ou de tristesse, c'est la puissance de se satisfaire de vivre et donc d'éprouver du plaisir autant que de la douleur, c'est se satisfaire de l'insatisfaction. »

C’est en :

viewtopic.php?f=15&t=1564

Cette réponse d’Henrique conforte mon point de vue mais, là où je vous rejoins peut-être, c’est en disant que la béatitude ne me paraît pas être d’un grand secours, en pratique, lorsque la tristesse est forte.
J’ai d’ailleurs déjà eu l’occasion d’écrire sur le forum que la connaissance du troisième genre, c’est très bien si vos fonctions vitales (respirer, digérer, uriner, déféquer...) sont assurées mais que, lorsqu’elles sont en question, la philosophie, y compris celle de Spinoza, n’est d’aucune utilité.
J’ajoutais que, dans cette situation, seuls sont efficaces le recours à soi-même et certains actes très concrets de l’entourage tout en concevant que l’éthique de Spinoza puisse l’être aussi, dans la mesure où elle est devenue une sagesse charnelle et n’en est pas restée à la connaissance rationnelle de l’ossature du monde.

Bien à vous

[NaOh]

Vanleers,

[...]c'est se satisfaire de l'insatisfaction.

Je trouve ceci un peu verbal. Pourquoi le philosophe spinoziste ne serait-il pas effectivement satisfait d'un plus grand nombre de choses que l'homme ignorant?

Bien à vous.

[hokousai]

Hokusai comparez vous votre prose à celle de Wittgenstein ou de Spinoza ou bien je rêve?

( comme tu n'es pas capable de me nommer par mon pseudo lequel est hokousai je vais te nommer Durtal et te tutoyer...on se connait depuis si longtemps hein !!!)


Je ne comprends pas ta remarque vu que que ne fais pas de comparaison.
Je fais une description de ce que j' ai pu observer chez Aristote, Kant, Hegel et beaucoup d'autres... c'est à dire une évolution, et de plus: de multiples emprunts à des doctrines diverses, des imprécisions, des propos parfois confus, des rectificatifs et chez certains, des revirements (le revirement chez Wittgenstein est patent).


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Toi et Vanleers avez squatté ce fil.

Au début, vu la qualité des remarques de Vanleers, j'ai estimé cela positif.

Espoirs mal placés, optimisme.

Bouveresse je l'ai lu et très bien lu alors que tu étais encore en primaire.
mais bref je n'insiste pas.
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Ce forum est MORT . Ni modérateur et absence d'administration.

Vacuité de l'autodiscipline... et c'était le dernier atout.
Ton incontinence verbale, c'est la cerise sur le gâteau.
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Bon cela dit et concrètement et en l'absence de modérateur

Le minimum serait que les débats sur autre chose émigrent ailleurs que sur ce fil.
Vous deux pourriez y débattre de ce que vous voulez sans encombrer.
Aldo et moi on n'ira pas vous mettre des bâtons dans les roues.
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Je soutiens fermement au moins une chose: c'est qu'il y a incompatibilité de commerce "intellectuel" entre certains.

[NaOh]

Bonjour le psychodrame....

[Vanleers]

A hokousai

Vous n’êtes pas, ni vous, ni aldo, ni personne, les propriétaires d’un sous-forum. Parler de « squat » est donc tout à fait inapproprié car personne n’a à vous demander l’autorisation d’intervenir. En tout cas, je ne me gênerai pas d’y publier d’autres messages si l’envie m’en prend, que cela vous plaise ou non.

[NaOh]

Hokousai,

Une explication de texte quand même attendu que vous ne "comprenez pas ma remarque."

Je vous reproche d'être confus et allusif. Vous me dites en gros que c'est là une chose qu'on retrouve chez les "grands philosophes". Donc il est bien évident, que vous vous comparez à eux au moins sous le rapport des défauts sus-cités.

C'est simple non?

Pour que les choses soient claires: si un philosophe est confus, allusif et incohérent c'est qu'il a plutôt raté son coup. Et ce ne sont évidemment pas des qualités philosophiques.

Moyennant quoi, comme à votre habitude, vous...confondez tout: le phénomène de l'évolution d'une philosophie, les tâtonnements de la recherche, les emprunts à d'autres philosophies, toutes ces choses ne sont en rien comparables à ce que je vous reproche de faire (ou de ne pas faire). C'est à dire: d'être délibérément peu clair dans votre expression, de vous contenter de références allusives, de l'air de celui qui "s'y connaît" (mais sans jamais exposer les philosophèmes dont il est question) et enfin d'entretenir autant que faire se peut la confusion dans les échanges.

Faire passer cela pour les richesses d'une réflexion "en train de se faire", est tout simplement une plaisanterie.