Un récit inspiré

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Un récit inspiré

Messagepar Explorer » 23 déc. 2015, 16:10

Bonjour à tous. Quelques années d'absence pour écrire ce récit. Quelques années pour que les Éditions sur le fil (ligne éditoriale : sur le fil entre philosophie et littérature) accepte "La lune où les cerfs perdent leurs bois" comme un hommage au prince des philosophes, paru le 9 novembre 2015.

Je mets ici le lien, allez jeter un oeil, et plus si affinité :

http://editionssurlefil.fr/home/3-la-lune-ou-les-cerfs-perdent-leurs-bois-jean-pascal-collegia-9791095367024.html


Pour info, ci-dessous le mot de l'éditeur :

Ascension et renaissance, ou le mot de l’éditeur

On entre dans La Lune où les cerfs perdent leurs bois par des pulsations, celles d’une voix lointaine, celles des respirations de l’Histoire, celles des Éléments qui poussent en avant, celles du moteur d’une vieille moto BMW rachetée à un faux hippie en déroute, celles des arrivées et des départs successifs, celles du cœur qui cherche. On se met au diapason avec un rythme venu d’un autre lieu, d’un autre temps, tout en restant dans notre ici et maintenant (trop) familier.
Tel un conte moderne, ce récit évoque la quête de Jason. En route vers lui-même, vers son passé, pour saisir ses racines identitaires et les porter loin devant lui pour s’en faire un cadeau du futur, celui d’une renaissance attendue dans l’obscurité de la conscience.
Au cœur des grands espaces et des murmures du silence, Jason cherche à faire tenir ensemble les disparités, à comprendre quel est son rôle, quel est l’objet même de sa quête. Apprendre la liberté, le don, la paix, et surtout l’amour, ce sera pour lui saisir de l’intérieur l’unité des choses et des êtres, ce sera pour lui voir émerger un sens.
L’engagement sincère de Jean-Pascal Collegia – en faveur de la Nature, (au-delà des étiquettes partisanes, bien au-delà), de la Culture propre à chaque peuple, face aux impérialismes, aux idéologies mercantiles – inscrit son récit dans une perspective critique, qui nous fait du bien, en nous secouant un peu l’âme, assez pour qu’on quitte le récit avec des images en tête et des idées dans les yeux. La littérature, c’est aussi cela, surtout cela, une nourriture qui nous oblige à grandir (un peu, mais c’est déjà beaucoup).
Jean-Pascal Collegia a croisé sur son chemin Spinoza, et en a fait un fidèle compagnon de voyage. L’histoire de La Lune où les cerfs perdent leurs bois, c’est aussi celle de cette amitié, de cette approche philosophique du monde. Un hommage rendu à la grâce d’avoir rencontré une pensée qui aide à voir, à vivre et à aimer, et qui donne envie de crier la Vie du haut d’une montagne.

Amitiés.

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