La vérité ici, autrement dit la certitude, c'est seulement qu'il n'est pas concevable qu'un être soit autrement.
Il n’est pas dans la logique possible de concevoir : A ET non A comme vrai .
J’admets avoir dérivé rapidement sur l’existence, certes, mais c’est quand même ça le problème.
Pour parler d’un sujet connexe :vous pouvez penser Dieu, le problème est bien celui de l’existence ou pas de Dieu .
Vous distinguez dans l’ordre
1) tout ce qui est concevable sans contradiction avec la nature de Dieu et 2) l’existence
Très bien ! Moi je pars de l’existence (que je ne nie pas) et ensuite je ne m’adresse pas à la logique pour la penser. Ou plus exactement je doute qu’il faille délaisser les paradoxes et les contradictions. Les délaisser ou en détourner le regard.
A supposer que le monde soit illogique qu’aurions nous gagné à le croire logique ? Sinon d’amères désillusions quand le chaotique qui fait le fond des choses réaffirme sa prééminence.
PS :Si je doute de la réalité de l’en soije ne peux que douter de la réalité de l’en autre chose . C’est à dire que dans affections il y a l’idée de l’autre membre de l’alternative, l’affection est celle d’ un en soi ( l' affection dune substance ).
Je n’ai pas dit qu'il n'y a pas de pensées en dehors de l'expérience sensible. Problème canonique de la cabaléité !
amicalement
hokousai